ou quand Nina Hagen veut faire de la politique avec un violon et un pipeau…
L’Arrêté fondateur du 18 mai 1951, dans le cadre de l’Éducation Nationale stipule que « 1 % des sommes consacrées par l’État pour chaque construction d’établissement scolaire ou universitaire devra financer la réalisation d’une œuvre d’art contemporaine intégrée au projet architectural ».
Plus tard, cette démarche se développe au sein des divers ministères, notamment au cours des années 70 et 80, pour se conclure en 1993 par son application au sein des Universités (la LRU était encore bien loin pourtant…)
Le fonctionnaire est-il donc considéré comme la sculpture ou le tableau contemporain, soit une dilapidation de l’argent du contribuable (Jean Monneret) ? …Ou bien alors, les échéances politiques approchant, tente-t-il d’acheter les voix des fonctionnaires ?
Sans pouvoir répondre à ces interrogations, la politique gouvernementale menée depuis 2010 à l’encontre du Service Public ne pouvant être décryptée que dans le marc de café, et celui-ci ayant été consommé fin 2013 Par Hollande et M. Hartz (un héros en Allemagne, ils ont donné son nom à 4 Lois qui ont permis de développer la précarité des travailleurs…), je ne peux conclure, compte tenu du thème que par une reprise musicale:
Monsieur le président
Je vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être
Si vous avez le temps.
Je viens de recevoir
Mes émoluments
Pour partir aux élections
Avant que le PS ne connaisse des déboires.
Monsieur le président
Je ne veux pas la faire
Je ne suis pas sur terre
Pour réélire des méprisants.
C’est pas pour vous fâcher,
Il faut que je vous dise,
Ma décision est prise,
Je m’en vais, votre obole, refuser.